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vendredi, avril 26, 2024

L’Algérie humiliée et ridiculisée par l’ONU : Monsieur Belhimer démissionnez !

Le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme a officiellement confirmé ce vendredi les informations révélées par Algérie Part hier jeudi concernant l’invraisemblable Fake News diffusée par l’APS, l’agence de la presse étatique algérienne et canal officiel du régime algérien, concernant le supposé rejet par l’ONU de plusieurs plaintes déposées contre le régime algérien pour des violations successives et flagrantes des droits de l’homme en Algérie. 

L’instance onusienne a confirmé toutes les informations révélées par Algérie Part et cite notre média dans ce communiqué. Une première dans l’histoire des médias algériens. Oui, c’est effectivement la première fois que l’ONU se réfère au travail et production d’un média algérien. Cependant, si le travail d’Algérie Part a bel et bien porté ses fruit en incitant le Haut-Commissariat des Nations-Unies à communiquer publiquement sur la grossière opération de manipulation de l’opinion publique par l’APS et le régime algérien, il n’en demeure pas moins que l’Algérie n’en sort pas grandie de cette histoire.

Pis encore, notre pays est officiellement humilié et ridiculisé sur la scène internationale car une instance officielle de l’ONU vient de lui infliger une véritable leçon de déontologie et d’éthique. C’est le ministre de la communication, Amar Belhimer, qui est directement pointé du doigt dans ce scandale international lequel ne manquera pas de porter un énorme préjudice à l’intégrité morale de l’Etat algérien. Le porte-parole officiel du gouvernement algérien est le responsable hiérarchique direct de l’APS. L’agence de presse étatique est placée directement sous la tutelle du ministre Amar Belhimer. Ce dernier est le premier responsable du point de vue pénal et moral de cette invraisemblable Fake News que même les sites amateurs de buzz n’auraient pas pu imaginer ou diffuser.

Depuis son arrivée au pouvoir à la tête du ministère de la Communication au début du mois de janvier 2020, Amar Belhimer crie sur tous les toits qu’il est temps de « professionnaliser » la presse algérienne, la « moraliser » et la soumettre à un cadre « éthique » et « déontologique ». Or, ce  scandale de manipulation des masses et de l’opinion publique algérienne fomenté par l’APS démontre que les autorités algériennes encouragent exactement le contraire et font pire que les internautes les plus débiles sur les réseaux sociaux.

Amar Belhimer a refusé de reconnaître à Khaled Drareni la qualité « d’un journaliste ». Amar Belhimar a justifié la censure de plusieurs médias indépendants en Algérie comme votre média Algérie PART. Amar Belhimer est devenu depuis janvier 2020 une partie intégrante de l’appareil répressif de la liberté d’expression en Algérie. Aujourd’hui, il s’est transformé en un véritable boulet au pied de l’Etat algérien. Après cette humiliante gifle infligée à l’Etat algérien par l’ONU, Amar Belhimer devrait se ressaisir et penser à sauver le peu d’honneur qui lui reste. La démission est la seule issue possible qui lui reste. La seule issue qui permettra à l’Etat algérien de laver cet affront et de restructurer totalement sa communication officielle.

 

 

 

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