La « Nouvelle Algérie » promise par Abdelmadjid Tebboune, le Président algérien, n’a strictement aucune différence avec l’Ancienne Algérie. Du moins du point de vue de la diaspora algérienne à l’étranger, ce sont toujours les mêmes sempiternelles pratiques que développent le régime algérien depuis des lustres qui sont encore reproduites. Preuve en est, lors des prochaines élections législatives anticipées, la grande diaspora algérienne en France n’aura le droit qu’à… 4 représentants dans le futur Parlement.
Une profonde anomalie dénoncée par de nombreux collectifs et associations défendant les droits et intérêts de la communauté algérienne en France. Il faut savoir que Tebboune a décidé récemment de procéder à la réduction du nombre de députés de 462 à 407 au sein de la chambre basse Algérienne pour les futures élections anticipées législatives prévues le 12 juin prochain.
Ainsi, dorénavant, dans le futur Parlement algérien, la capitale Alger aura 34 députés, la deuxième ville du pauys Oran 17députés, Djelfa 13 députés et Constantine 11….. Quant à la diaspora algérienne en France, elle restera représentée avec une uniquement 4 députés au sein du Parlement. Un nombre totalement ridicule aux yeux de l’importance de la communauté algérienne en France estimée par plusieurs enquêtes et études démographiques à près de 3 millions de ressortissants.
Il est à noter à ce propos que le nombre de députés en France est resté figé au texte législatif de 1977. A cette époque, la France comptait 1 million d’Algériens en France pour 4 députés. Aujourd’hui, le nombre des ressortissants Algériens en France est beaucoup plus important et « il est donc évident que le nombre d’élus et de circonscriptions n’est pas adapté à l’évolution démographique de notre population », analysent les initiateurs et militants de l’associations DARE, Diaspora des Algériens résidant à l’étranger, qui ont interpellé Abdelmadjid Tebboune depuis septembre 2020 pour lui demander de procéder à une réforme de la composition du parlement algérien afin de permettre à la diaspora algérienne en France d’être représentée par un nombre de députés qui reflète réellement son important poids humain stratégique.
Récemment, l’association DARE a adressé une autre missive aux autorités algériennes pour déplorer le nouveau « découpage électoral » qui résulte « d’un manque de vision et d’analyse de la part de ceux qui ont concocté cet acte chirurgical vis à vis de la diaspora », dénonce cette association.
Officiellement, en Algérie, la répartition des sièges pour chaque circonscription électorale, est déterminée au prorata de la population de chaque Wilaya. L’affectation d’un siège au sein de l’APN, par tranche de 120 000 habitants ainsi que l’affectation d’un siège supplémentaire pour chaque tranche restante de 60 000 habitants.
« Dans ce découpage il y a un acte délibéré de discrimination envers les Algériens de l’étranger », a souligné encore l’association DARE qui a proposé officiellement de réserver un quota de 15 députés pour la communauté algérienne en France afin de s’assurer d’une réelle et sérieuse représentativité. « L’Etat invite les entrepreneurs Algériens établis de l’étranger á venir investir dans le pays avec des avantages fiscaux et des facilités administratives. Mais ils sont exclus des centres de décisions. Qui acceptera ? », s’interroge enfin l’association DARE en rappelant que « tous les pays au monde, se reposent sur leur diaspora pour passer leurs messages et influer sur les décisions politiques et économiques du pays hôte ».
Les récalcitrants, Zaghmati s’apprête à voter des lois pour les déchoir de leur nationalité ;
quant-aux béni-oui-oui, on utilisera leurs voix, sans leurs présences, pour bourrer les urnes
en faveur de s’hab el kachir !
Ainsi, comme de coutume, la boucle sera bouclée.
Le probleme de la diaspora est le meme que celui des « citoyens » Algeriens vivant en Algerie. C’est une question de liberte’. La liberte’ de s’exprimer, la liberte’ de cree’ des associations et/ou partis politique, la liberte’ de se reunir et de s’organiser, la liberte’ du culte etc, sont banis et bafouer par les generaux genocidaires en Algerie et en france par l’establishement de la France racistes et colonialistes. Les deux monstres criminels generaux genocidaires et les francais racistes et colonialiste veulent avoir des esclaves, des sujets et pas de citoyens surtous si le prenoms et la religions et autres que chretiennes de facade. La liberte’ des Algeriens en Algerie est primordial.