L’Algérie pays pétrolier et gazier en crise. Oui, mais la raison n’est pas liée uniquement à la faiblesse et diminution significative de ses réserves en hydrocarbures. Non, l’Algérie a aussi une autre bête qu’elle paie aujourd’hui cash : son abandon de la pétrochimie !
Oui, malheureusement l’Algérie a abandonné doucement, mais sûrement sa politique des années 70 et 80 qui consistait à faire du secteur des hydrocarbures un secteur industrialisant en développant davantage l’aval (pétrochimie) de telle façon à encourager l’émergence d’avantages comparatifs dans le reste de l’économie et à exporter des produits à forte valeur ajoutée. Depuis 2010, la priorité a été donnée au pétrole brut et
au gaz naturel.
Preuve en est, de 1985 à 2010, les exportations de produits de base sont passées de 36% à 72% et les produits transformés de 64% à 28%. Ce recul de l’aval des hydrocarbures au profit de l’exploitation de l’amont fait que l’Algérie a pris, comparativement à une majorité de pays de l’OPEP, du retard dans la pétrochimie. Cela revient, à valoriser la fonction financière sur la fonction industrialisante de ce secteur ; autrement dit sur la capacité de transformation structurelle et de diversification à partir des ressources naturelles. En 2010, l’Algérie a importé près de 5 milliards US$ de produits relevant de la pétrochimie.
Ce recul dans le secteur de la pétrochimie a été une terreur car l ’industrie des hydrocarbures en Algérie représente un secteur majeur de l’économie Algérienne : soit 95% des recettes d’exportation du pays. Aussi, l’Algérie est le 3ème producteur africain de pétrole et le 9ème producteur mondial de gaz. Avec ses atouts, l’Algérie aurait pu continuer à engranger encore beaucoup de revenus en devises grâce à l’exportation de produits à valeur ajoutée comme les dérivés du pétrole et du gaz au lieu de se contenter uniquement d’exporter des hydrocarbures en brut.
A partir de 2018-2019, le régime algérien a pris conscience de son erreur. Et il s’est réveillé de sa torpeur. Afin de développer et de renforcer l’industrie pétrochimique, l’Algérie a mis en place un plan de développement sur la période 2019-2023 de 8,6 Mds USD dans le raffinage et la pétrochimie. Plusieurs projets sont actuellement en cours dans le cadre de ce plan : construction et extension de raffineries, réalisation de complexes de production de produits pétrochimiques, augmentation des capacités de stockage de produits raffinés, etc.
Mais depuis février 2020, date à laquelle une nouvelle administration a été instaurée à Sonatrach sous l’égide de Toufik Hakkar et le Premier-ministre, Abdelaziz Djerad, ce plan a été entièrement gelé et tous les plus importants projets structurants pour la production des hydrocarbures et leur transformation ont été tout bonnement ralentis ou tout simplement mis au placard. Les conséquences sont fâcheuses puisque de 2020 jusqu’à 2021, les exportations des produits transformés a encore terriblement chuté en Algérie causant un triste préjudice financier pour le pays.
Une triste décadence alors que l’Algérie fut parmi les premiers pays pétroliers dans le monde à développer des ambitions futuristes dans le secteur de la pétrochimie. En effet, l’Algérie s’était lancée dans le plan »Valhyd » (Projet de Valorisation des Hydrocarbures à l’export) en 1976. Il visait dans l’intervalle de trente (30) ans depuis la date de son lancement à la date de son achèvement, à récupérer toutes les réserves d’hydrocarbures enregistrées et/ou reconnues. Il prévoyait des recettes tirées de la commercialisation des ressources procurées par cette intensification de la production des hydrocarbures qui serviraient à alimenter le financement de l’industrialisation de l’Algérie en vue d’instaurer une croissance économique autonome qui ne dépendra pas des variations haussières ou baissières du marché pétrolier.
Il avait également pour objectif la substitution de produits finis aux bruts à l’exportation, la satisfaction des besoins du marché national en produits raffinés, pétrochimiques, engrais et matières plastiques. C’est alors qu’il y a eu l’implantation de nouvelles infrastructures pétrochimiques qui étaient les premières de leur époque notamment le complexes de produits pétrochimiques éthylène & dérivés à Skikda et d’ammoniac à Arzew en 1976 et la mise en service du Complexe méthanol et dérivés à Arzew en 1978.
Malheureusement, ce plan a connu un brutal coup d’arrêt et toutes les ambitions ont été enterrés à la fin des années 80 et tout au long des années 90 période durant laquelle l’Algérie était ravagée par une terrifiante guerre civile. Aujourd’hui, les complexes pétrochimiques encore en activité sont principalement ceux de d’ammoniac et d’urée d’Arzew et de Annaba ainsi que le complexe de méthanol à Arzew. Pour ce qui est du complexe d’éthylène et dérivés à Skikda, son avenir est indécis.
Et sinon des nouvelles de l’escroc Ould Kaddour?
C’etait un des plan de destruction des Hizb Franca, c’est ca la politique de la destruction de l’industrie industrialisante par le vermine Larbi Belkhier qui s’est incruste’ a El-Mouradia et dans la tete de Chadli. Le debut du plan de destruction de l’Algerie par les Dafistes (Belkhier, Nezar, Touati, Lamari, etc.)
Chadli n’avait besoin de personne pour prouver à qui veut bien qu’il n’était qu’un traître de plus au sommet de l’état comme ceux qui l’ont précédé et suivi, à l’exception de Boudiaf ( Allahyrahmou).
Quand on poignarde quelqu’un, on assume, on ne dit pas que c’est la faute du couteau…
Depuis l’indépendance , l’Algérie , est gouvernée par le clan d’ Oujda et même partis ou mort ,ils ont laissé des descendants ,ils ressemblent aux mouches .Quand la mouche se pose sur quelqu’un elle laisse sa chie , c’est comme ça le clan d’oujda ils sont toujours là .Et pour sortir l’Algérie de se marasme ,il faut que le hiraq s’organise et nommé 2 ou 3 représentants et obligé les tenants du pouvoir actuel a partir et puis faire un bon nettoyage , sinon le pays est foutu et surtout jeter les marocaca et tous les autres étrangers afin de purifier le pays.
En effet Chadli a mis l’Algérie à genoux et à laisser les Islamistes finir la destruction
Lui , le général Belkhir, Nezzar, Touati, Lamari, Lakhal Ayat, et les autres ont décidé de gaspiller les ressources des projets pétrochimiques pour se lancer dans l’économie de Bazars …
Aswak El Fellah…on achète des produits européens et les vends à bas prix
Les entreprises publics , comme les administrations avaient pour instructions d’embaucher à tout va…des centaines de milliers de travailleurs, de fonctionnaires pointaient le matin puis allaient prendre un café à coté ou vaquer à d’autres occupation …personne ne se rendait compte de leurs absences
Entre temps, il y’a des commissions sur les produits d’importations, sur les appels d’offres et sur l’armement
Le général Belkhir voulait que nos frontières soient protéger exclusivement par des systèmes Thomson ( français) et bien sur en remerciement de sa collaboration il a bien été commissionné
Bien sur, la majorité des gradés ne voulaient pas que nos frontières soient équipées que par du matériel français mais Chadli est passé outre
Une anecdote…Quand l’armée de Kadhafi a attaqué le nord du Tchad, l’aviation Française a eu l’autorisation de Chadli de survoler notre ciel aérien pour bombarder les bases et l’avancée de l’armée de Kadhafi et sauver la tête de Hissene Habré ( Janvier 1986 et février 1987)
Chadli est devenu un ami du papa du roitelet narco trafiquant momo 6…il a accepté de réouvrir les frontières terrestres sans avoir réglé les raisons qui ont poussé son prédécesseur à les fermer ( saisis des biens et expulsions de plusieurs milliers de familles algériennes sans leurs indemnisations par un Dahir du Roi de 1973, la guerre au sahara avec les dizaines de milliers de réfugiés sahraouis ( une invasion armée contre une population civile désarmées que les marochiens surnomme marche verte), la tentative, qui a échoué, de s’allier avec la Mauritanie pour nous contrer sans oublier l’agression de la guerre des sables de 1963 contre un pays meurtri par 8 années de guerre de libération)
Les marochiens rêvent toujours de récupérer leur sahara orientale…les 3/4 de notre sahara…et il ne souhaite qu’une nouvelle guerre civil et la désintégration de notre nation