L’Algérie souffle. Elle termine l’année 2020 avec une réduction encourageante des cas contaminés confirmés et l’épidémie de la COVID-19 semble entamer un recul progressif. Ceci dit, la vigilance demeure de mise et l’Algérie demeure confrontée à un risque élevé d’une nouvelle vague de contaminations au début du mois de janvier prochain si un relâchement au sein de la population est observé d’ici la fin de l’année.
D’après les dernières données épidémiologiques de l’Institut National de la Santé Publique (INSP), un organisme scientifique officiel relevant du ministère algérien de la Santé, au 17 décembre, le nombre de cas cumulés enregistré à l’échelle nationale est de 93 933 cas avec un taux d’incidence de 220,50 cas pour 100 000 habitants. Il s’agit de cas COVID-19 confirmés par des tests de dépistage PCR.
Le rapport de l’INSP nous apprend ainsi que durant les quinze derniers jours, cinq wilayas ont enregistré une augmentation notable en termes de taux d’incidence entre le 3 et le 17 décembre dernier. Ce sont par ordre décroissant Blida (522,13 versus 490,02), Oran (466,38 vs 403,60), Jijel (410,72 vs 373,40), Alger (371,04 vs 330,81) et Tizi Ouzou (281,61 vs 251,45 cas pour 100 000 habitants). Ce sont ainsi les wilayas où le virus du coronavirus COVID-19 est encore en forte circulation et le risque de nouvelles contaminations demeure très élevé.
Le même rapport de l’INSP a identifié également 14 wilayas parmi les 48 qui ont observé un écart inférieur à 5 points entre le 03 et le 17 décembre, c’est-à-dire des augmentations légères des nouvelles contaminations au sein des populations locales, dont trois qui n’ont notifié aucun nouveau cas durant cette période : Béchar (101,23), Illizi (207,60) et Tindouf
(212,36).
L’INSP souligne enfin que les cas confirmés ont connu une baisse du nombre hebdomadaire de nouveaux cas amorcée depuis la semaine du 27 novembre au 03 décembre. Au cours des trois dernières semaines, le recul des notifications est estimé à 8,6 % – 31,8 % et 27,9 %. Le nombre hebdomadaire de nouveaux cas est ainsi passé de 7 458 entre le 20 et le 26 novembre, à 6 817 entre le 27 novembre et le 03 décembre, puis à 4 652 entre le 04 et le 10 décembre et enfin à 3 354 cas au cours des sept derniers jours.
Les données les plus récentes de l’INSP nous permettent de noter qu’entre la semaine du 20 au 26 novembre où le deuxième pic a été enregistré (7 458 cas) et la semaine
du 11 au 17 décembre, le nombre de déclarations des nouveaux cas COVID-19 a été divisé par 2,2. C’est une excellente nouvelle sur laquelle l’Algérie doit capitaliser pour poursuivre sa lutte acharnée contre l’épidémie de la COVID-19.
Pourtant à te lire ces dernières semaines tu nous annonçais ( tu souhaitais ?) Le chaos interplanétaire….Tu viens une fois de plus de manger ton chapeau…il ne doit plus rester grand chose d’ailleurs….
Ta crédibilité ta déontologie et ton honnêteté sont absents de la plupart de tes articles…Tu commences même à devenir une référence en la matière dans le monde des sites dits d’information…Un très mauvais classement comme les bidons que tu nous sors tous les jours pour quantifier l’Algérie dans tous les domaines…