La situation sanitaire en Algérie est redevenue préoccupante. Un seul indicateur inquiète particulièrement les spécialistes et épidémiologistes : il s’agit des hospitalisations des cas les plus graves souffrant des symptômes les plus sévères de l’infection à la COVID-19. Le 28 mai dernier, l’Algérie a dépassé la barre des 2000 patients hospitalisés en une seule journée, nous apprend l’Institut National de la Santé Publique (INSP), un organisme scientifique relevant officiellement du ministère de la Santé chargé de mener des enquêtes épidémiologiques sur le terrain pour cerner les évolutions des potentielles épidémies qui menacent la santé publique.
Les hospitalisations ont atteint les 2 002 patients le 28 mai dernier, nous apprend ainsi l’INSP dans son dernier bulletin épidémiologique. C’est le seuil le plus élevé observé dans les hôpitaux algériens après une longue période d’accalmie. Le dernier pic des hospitalisations à cause d’une infection à la COVID-19 a été observé le 16 mai dernier avec 1668 patients hospitalisés.
Concernant les patients en réanimation, la situation commence à devenir également inquiétante car un nombre de 154 patients admis en une seule journée dans les unités de soins intensifs ont été enregistrés le 28 mai au niveau national, constate l’INSP d’après lequel le nombre de ces patients souffrant des formes les plus graves et dangereuses de l’infection à la COVID-19 était de 123 patients le 23 mai dernier.
Le rapport de l’INSP nous apprend que les wilayas de la région Centre du pays ont enregistré une augmentation du nombre moyen de patients en réanimation. Fort heureusement, les hôpitaux du centre du pays, la région la plus peuplée du pays, ont constaté une diminution de celui des patients intubés au cours des sept derniers jours du mois de mai. Ainsi, le nombre moyen est de 72,1 & 14,0 entre le 15 et le 21 et de 77,4 & 13,3 entre le 22 et le 28 mai. Les experts de l’INSP ont constaté une augmentation estimée à +7,3 % et une diminution de -5,0 % respectivement pour la moyenne des patients en soins intensifs et celle des patients intubés.
Soulignons enfin que cinq wilayas sur douze ont enregistré une augmentation du nombre de patients en réanimation. Ce sont Alger (de 42,0 à 46,6), Blida (1,7 à 2,6), Bouira (2,7 à 5,1), Djelfa (de 0,0 à 0,4) et Tizi Ouzou (de 2,7 à 3,0). Quatre wilayas enregistrent une légère élévation du nombre moyen de patients intubés ; ce sont Bordj Bou Arreridj (de 0,4 à 0,6), Djelfa (de 0,0 à 0,4), Tipaza (de 0,1 à 0,3) et Tizi Ouzou (de 1,7 à 1,9).
espèce d’abrutis, vous êtes planqué comme des rats à Paris, vivant des prestations sociales comme des clodos, tous les jours vous êtes fiers d’annoncer que le Tehrak a repris et que les gens se frottent entre eux véhiculant tous les virus connus et inimaginables et maintenant que la contamination explose, vous venez, telles des pleurnicheuses, annoncer que la situation est grave.
Je n’ai jamais vu des trous duc comme vous.
Je savais que vous n’aviez pas de nif ni de rojoula mais là, je viens de confirmer que vous n’avez pas n’en plus de cerveaux.
Bande de pecnots imbéciles
COVID-19. Attention, les hospitalisations ont dépassé la barre des 2 000 patients par jour depuis le 28 mai dernier en Algérie
il suffit de les envoyer se faire soigner en Espagne
c’est vrai pourquoi payer pour les sahraouis
et pas pour les algériens ?
Attention fake news
Zemmar, cela des moins que tu nous prédis une catastrophe sanitaire, des hôpitaux débordés , des milliers de morts
C’est ton rêve mais tes rêves ne vont jamais se réaliser …
On a tous appris les conditions de tes ex-filtrations de ton ancien pays: tu as affirmé sans rire que tu as été ex-filtré par RSF…pour le langage courant les services français …et bien sur ils t’on offert le gite et le couvert car tu a été un « grand opposant du régime » LOL