Les cadres dirigeants de Sonatrach sont en état de choc. Deux importants hauts responsables réputés pour leur professionnalisme, leur expérience avérée et leur intégrité ont été limogés dans des circonstances troublantes et alarmantes. Leur limogeage a été décidé brutalement par le PDG de Sonatrach, Toufik Hakkar, a pu confirmer Algérie Part au cours de leurs investigations.
Au sein de la direction générale de Sonatrach, personne ne s’attendait à leur limogeage. En effet, Brahim Hammoudi, Directeur de la Division Forage au sein de Sonatrach, a été relevé de ses fonctions à la grande surprise de ses collaborateurs qui ont témoigné à l’unanimité de la rigueur professionnel de leur supérieur hiérarchique. Brahim Hammoudi occupe ses fonctions depuis décembre 2019 alors qu’il était auparavant PDG de l’Entreprise nationale des travaux aux puits (ENTP), l’une des filiales les plus stratégiques de Sonatrach. Ce spécialiste du forage était respecté par ses interlocuteurs pour son savoir-faire.
Toufik Hakkar a décidé également de limoger Djettou Farid, Directeur de la Division PED, la division Petroleum Engineering et Développement (PED), une structure stratégique qui gère les réserves d’hydrocarbures. Farid Djettou était également l’ancien directeur de la division association de Sonatrach qui gère les partenariats de la compagnie nationale des hydrocarbures avec les sociétés étrangères. Selon nos sources, ces deux hauts responsables font les frais de leurs profondes divergences avec Toufik Hakkar concernant la gestion peu scrupuleuse et scabreuse de certains marchés publics dans le domaine de l’exploration et exploitation des gisements des hydrocarbures. Algérie Part fera des révélations sur ce dossier dans ses prochaines publications.
Longue vie à Bouteflika et son ami de combat Boumedienne (Bou lmakhrouba) , les 2 pères du pays « continent » , qui ont instauré les solides bases de l’Algérie, créé par la maudite France colonialiste en 1962 .
TEBBOUNE et CHENGRIHA ont pris le flambeau des 2 pères fondateur de L’ALGERIE.
Tous ceux qui ne veulent pas adhérer au caractère éphémère de la gestion « made in Algéria », autrement dit, une gestion sans lendemain, seront sacrifiés, comme l’ont été, en son temps, nos vrais fellaghas, remplacés par des « faux » !