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samedi, avril 27, 2024

12 Harragas algériens sauvés par la marine espagnole après 7 jours à la dérive en haute mer

12 jeunes Harragas algériens ont été miraculeusement sauvés ce dimanche 26 septembre par un navire de la marine espagnole qui a pu les repérer et les secourir alors que leur embarcation était à la dérive pendant 7 longs jours en haute mer. 

C’est Francisco José Clemente, membre actif d’une ONG espagnole spécialisée dans l’accueil de migrants arrivés en Espagne sur des embarcations de fortune, qui a révélé ce dimanche cette information sur sa page Facebook.  Francisco José est l’un des plus importants spécialistes de la question de l’émigration clandestine en Espagne. C’est lui qui est à l’origine de la création du compte Twitter « Héroes del Mar » à travers lequel il couvre la majorité des embarcations de la Mer d’Alboran en lançant des alertes et en diffusant des informations. Francisco José Clemente travaille essentiellement avec le Centre International pour l’Identification de Migrants Disparus (CIPIMD) qui se trouve à Malaga en Andalousie (Espagne). A la demande des familles, organismes et autres institutions, cette organisation non gouvernementale s’occupe de la recherche et de l’identification des personnes disparues et de leurs proches.

D’après cette source considérée comme l’une des plus fiables concernant l’observation du fléau de la migration clandestine au sud de l’Espagne, ces 12 Harragas algériens ont pris le large depuis les plages de la Wilaya d’Alger. A bord de leur embarcation équipée d’un moteur de 40 chevaux, les 12 harragas algériens tentaient de rallier les iles Baléares. En s’approchant de l’ile d’Ibiza, les malheureux harragas ont perdu le moteur de leur bateau qui est tombé brutalement en panne. Durant 7 jours, les harragas algériens étaient à la dérive en haut mer s’éloignant ainsi de la terre ferme et de l’espoir de fouler les rivages espagnols.

Dieu merci, ce dimanche 26 septembre, un navire de la marine espagnole a procédé au sauvetage de ces migrants qui auraient pu être dévorés par une Méditerranée déchaînée par temps de tempête.

D’après Francisco José Clemente, ces 12 harragas algériens ont parcouru plus de 500 KM lorsqu’ils étaient à la dérive en haute mer. Ils ont échappé miraculeusement à une mort certaine.

 

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4 تعليقات

  1. Elle est où la grandeur de l’Algérie modèle vantée par cette petite morve de Tebboune devant des walis aussi abrutis que lui?
    Les harragas meurent ou s’humilient à demander l’asile devant les espagnols qui doivent économiser leur honte devant le spectacle sans fin de l’incompétence de la dictature algérienne qui ne tient que grâce au gaz qu’elle brade à l’occident.
    Les generaux algériens et leurs hyènes en civil sont des parasites. Des virus.Depuis 1962, ils rongent l’Algérie jusqu’à l’os.

  2. un peu sensible , il y a un algérien qui témoigne, « » »beaucoup d algériens sont dans les pays des Balkans.

    C EST UN CREVE COEUR DE VOIR NOS JEUNES PARTIR A LEUR RISQUES ET PERILS PAR LA VOIE ILLEGALE, ALORS QU ILS D AUTRES VOYAGENT AVEC DES PASSEPORT ETRANGERS ET DES ETUDES AU DOS DU PEUPLE… OUI, OUI

    https://www.vrt.be/vrtnws/fr/2021/06/01/a-la-rencontre-des-migrants-victimes-de-refoulements-violents-au/.

  3. Bonjour Frere BALOU, stp laisse parler LE DEY . tu sais qu il y a le culte de la personnalité apres un décès, nous vivons en Coree du nord.

    Anissa Boumediène a perdu son procès contre Tamurt

    Aucun journal en Algérie n’est indépendant, bien que des journalistes honnêtes existent, faut-il le rappeler. La presse kabyle existe belle est bien. Même avec des moyens rudimentaires, elle est souveraine. C’est d’ailleurs une des raisons de la censure par l’Etat algérien du journal Tamurt en Kabylie et en Algérie .

    Le procès d’Anissa Boumediène contre ce journal kabyle restera dans l’histoire. C’est une belle victoire, C’est une victoire symbolique de la Kabylie contre tout le régime raciste

    Mme Boumediene a réclamé 300 000 euros de dommages et intérêts au journal. Sauf qu’avec la décision du tribunal parisien, l’ex-première dame est repartie bredouille.

    Ce non lieu a unanimement été salué par la presse algérienne et les médias kabyles en ligne.

  4. La pauvre Anissa Boumédiène vit dans les beaux quartiers à Paris ! C’est tout à fait normal, c’est son milieu ! Elle est issue d’une famille bourgeoise algeroise. Son père était dès le début des années 30, distributeur de films dans toute l’Afrique du Nord. A l’époque, Alger, sous la colonisation, était le centre culturel !
    L’indépendance n’ayant pas été vraiment bon pour l’industrie du cinéma ! L’argent a été envoyé en France !