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mardi, avril 23, 2024

Révélations. Affaire Brahim Ghali : Comment des anciens officiers de la DCSA et du renseignement extérieur ont trahi l’Algérie pour torpiller le général Achour

Le chef du Front Polisario, Brahim Ghali, a alimenté un inédit feuilleton diplomatique et politique au cours du printemps dernier. Hospitalisé en Espagne pour subir des soins intensifs à la suite de son infection par les formes les plus graves de la COVID-19, le chef du Polisario était arrivé le 18 avril dans le plus grand secret, à bord d’un avion médicalisé de la présidence algérienne et muni d’un « passeport diplomatique ». Il avait ensuite été admis dans un état critique à l’hôpital de Logroño sous un faux nom « pour des raisons de sécurité ».

L’hospitalisation de Brahim Ghali à Logroño (nord de l’Espagne) pour des complications liées au Covid-19 a déclenché une crise diplomatique majeure entre l’Espagne et le Maroc, dont le point culminant a été l’arrivée, mi-mai, de près de 10 000 migrants dans l’enclave espagnole de Ceuta, à la faveur d’un relâchement des contrôles par les autorités marocaines.Le leader du Front Polisario a été hospitalisé en Espagne sous le nom de Mohammed Ben Battouch, de nationalité algérienne supposée. Brahim Ghali a utilisé cette fausse identité le présentant comme un ressortissant algérien âgé de 85 ans dans le seul but d’entrer dans un hôpital espagnol de La Rioja sans éveiller les soupçons des services secrets marocains afin de ne pas provoquer une riposte diplomatique du Maroc contre l’Espagne laquelle avait décidé de tendre la main aux indépendantistes sahraouis alors qu’elle soutient officiellement le plan d’autonomie du Maroc dans la question du Sahara Occidental.

Cette opération de transfert de Brahim Ghali, président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) autoproclamée, âgé de 73 ans, vers un hôpital espagnol a été négociée et préparée dans le plus grand secret par des contacts en haut lieu de l’Etat algérien et espagnol. Malheureusement, le secret de cette opération a été bafoué et violé dans des circonstances qui sont restées opaques. En effet, le 22 avril 2021, le magazine panafricain Jeune Afrique réputé pour sa proximité avec le Makhzen marocain, a révélé la présence secrète de Brahim Ghali dans un hôpital espagnol faisant ainsi capoter l’opération menée en toute discrétion par les autorités algériennes et espagnoles.

« Selon nos informations, le président de la République arabe sahraouie démocratique (RASD) et secrétaire général du Front Polisario Brahim Ghali, 73 ans, a été admis d’urgence le 21 avril au soir dans un hôpital de Logroño, non loin de Saragosse, en Espagne », avait relaté Jeune Afrique dans son article qui avait défrayé la chronique. Mais comment Jeune Afrique a pu se procurer cette information censée demeurer secrète et jalousement préservée par les Etats algérien et espagnol ? Jusqu’à aujourd’hui, personne n’a voulu répondre à cette question qui demeure suscite toutes les spéculations.

Algérie Part a mené une profonde enquête durant plusieurs semaines pour aboutir finalement à des découvertes saisissantes. Effectivement, de nombreuses versions ont circulé pour expliquer la fuite des informations secrètes concernant l’hospitalisation de Brahim Ghali en Espagne qui avait fini par quitter ce pays dans des conditions spectaculaires le 2 juin dernier.  Certaines sources ont accusé les services secrets français d’avoir fourni cette information à leurs homologues marocains. D’autres ont voulu nous faire croire que les services secrets marocains ont pu obtenir cette information en espionnant les moyens de communications des dirigeants algériens grâce au logiciel israélien de cyber-espionnage Pegasus.

En vérité, toutes ces thèses sont farfelues et n’ont aucun fondement. Et pour cause, l’information sur la présence de Brahim Ghali en Espagne a fuité depuis… Alger. Oui, c’est depuis Alger que cette information a été fuitée pour parvenir jusqu’aux… services marocains. Algérie Part a pu confirmer au cours de ses investigations qu’à l’origine de cette fuite, nous retrouvons plusieurs anciens officiers militaires et quelques actuels hauts responsables du renseignement extérieur algérien. Il s’agit d’un réseau d’officiers militaires algériens impliqués dans un vaste complot de déstabilisation des institutions de l’Etat dans le but de dégommer des hauts responsables de certains services de sécurité pour les remplacer par de nouveaux apparatchiks proches de leurs intérêts.

Il faut savoir, d’abord, que la préparation de l’opération de l’hospitalisation de Brahim Ghali en Espagne a été confiée au début du mois d’avril au bureau de la recherche et de l’espionnage du Centre principal des opérations (CPO), localisé à Ben-Aknoun dans la fameuse caserne appelée « Centre Antar » relevant de la Direction Générale de la Sécurité Intérieure (DGSI), le renseignement intérieur algérien, la principale branche des services secrets algériens.

C’est au niveau du CPO de Ben Aknoun que le passeport de Brahim Ghali a été fabriqué avec une fausse identité. Cette opération a été confiée par la Présidence de la République à la DGSI sous la responsabilité du général Achour Ouaddahi, un ami proche d’Abdelmadjid Tebboune et ex-numéro 2 de la DGSI. Un nombre très réduit d’officiers du renseignement algérien a travaillé discrètement sur cette opération suivie en haut lieu par Abdelmadjid Tebboune qui avait négocié personnellement avec les autorités espagnoles pour obtenir l’hospitalisation salutaire de Brahim Ghali dans un établissement de pointe. Au CPO de Ben Aknoun, toutes les mesures ont été adoptées pour préserver le secret autour de cette opération très sensible.

Cependant, le général Achour comptait de nombreux ennemis qui voulaient bousiller sa carrière et le chasser du pouvoir en raison de l’énorme confiance placée en lui par Abdelmadjid Tebboune. Ce sont ces adversaires qui sont passés à l’action pour saboter cette opération très sensible dans le seul but de discréditer définitivement le général Achour.

Mais qui sont-ils ces adversaires ? Et comment ont-ils fait pour percer les secrets de cette opération pour ensuite faire fuiter les informations à l’étranger ? Il faut savoir que les principaux ennemis du général Achour qui se battaient pour demander sa tête s’appelle le colonel Omar et le colonel Hocine Hamid. Le colonel Omar, le frère de l’actuel patron de la Direction Centrale de la Sécurité de l’Armée (DCSA), le général Sid Ali Ould Zemirli. La DCSA est l’un des services de renseignement les plus puissants et importants en Algérie car elle est directement rattachée à l’Etat-Major de l’ANP. Le colonel Omar a fait presque toute sa carrière à la Direction régionale de la sécurité de l’armée (DRSA) de la deuxième région militaire à Oran. Il a ainsi fait le tour de plusieurs postes au sein de la DCSA à l’Oranie. Totalement méconnu de l’opinion publique, le colonel Omar est en vérité actuellement le lobbyiste le plus dangereux de « l’Etat-profond » en Algérie.

Plus âgé que son frère Sidi Ali Ould Zmerli, c’est en réalité le colonel Omar qui tire les ficelles au sein de la DCSA alors qu’il est officiellement à la retraite dans sa maison paisible à Ouled Fayet dans la banlieue d’Alger. Comment est-ce possible ? En vérité, le colonel Omar abuse et instrumentalise l’influence qu’il exerce sur son petit frère. Le colonel Omar dispose ainsi d’un pouvoir d’influence inédit qui lui permet d’ouvrir les portes de plusieurs autres institutions du pays. Utilisant outrageusement le nom de Said Chengriha, l’actuel patron de l’Institution miliaire algérienne et premier protecteur de son frère le général Sid Ali Ould Zmerli, le colonel Omar a pu placer plusieurs de ses acolytes dans plusieurs autres institutions sécuritaires comme justement la…DGSI ou la Direction de la Documentation et de la Sécurité Extérieure (DDSE), le renseignement extérieur algérien. Terrifiant ses adversaires avec le nom de Chengriha et le pouvoir de son frère dirigeant la DCSA, le colonel Omar a pu imposer tout un nouveau clan paramilitaire au sein de la DGSI et de la DDSE sans compter les nombreux officiers qu’il a pu réhabilité en leur permettant de réintégrer la DCSA.

Parmi ces officiers, nous retrouvons son principal collaborateur et bras-droit dans toutes les manigances, un certain colonel Hocine Hamid alias Boulahya. Cet officier est un ancien de la Direction Centrale de la Sécurité de l’Armée (DCSA), l’un des plus proches collaborateurs du célèbre général-major M’henna Djebbar.

M’henna Djebbar avait occupé le poste de directeur de la DCSA de 1995 jusqu’à fin de l’année 2013, mais est toujours resté dans les arcanes du pouvoir. Il avait dirigé en décembre 2013 le Bureau d’organisation, qu’occupait le général-major Lakhdar Tireche, appelé à lui succéder à la tête de la DCSA. M’henna Djebbar avait même été pressenti en 2014 pour remplacer le général Toufik à la tête du DRS…

Il faut savoir que M’henna Djebbar est le père spirituel du colonel Hocine Hamid. Ce dernier a fait l’essentiel de sa carrière au niveau DU CTRI (Centre territorial de recherche et d’investigation) de la 1er région militaire à Blida tout au long des années 90, ou il avait été formé, formaté et chapeauté par son mentor M’henna Djebbar.

Après de longues années à la Direction régionale de la sécurité de l’armée (DRSA) de la Première Région militaire de Blida, Hocine Hamid, appelé Boulahya en raison de sa longue barbe composante distinctive de son allure de militant islamiste qu’il utilisait au cours des années 90 pour approcher les groupes radicaux armés, a été transféré vers le Centre principal militaire d’investigation (CPMI) de Ben-Aknoun, l’un des centres opérationnels les plus stratégiques de la DCSA à la capitale Alger. Au cours des années 2000, Hocine Hamid deviendra l’un des plus influents hauts responsables du CPMI de Ben Aknoun, devenant même son premier patron jusqu’à son éviction des rangs de la DCSA à la suite de la mise à la retraite de M’henne Djebbar à la fin de l’année 2013.

A partir de 2014, le clan de feu Gaid Salah entame une purge au sein de la DCSA, qui va alors quitter le giron du DRS pour être rattachée à l’Etat-Major de l’ANP à partir de 2014-2015, un démantèlement des services de renseignements sous couvert de restructuration imposée par Bouteflika, avec comme but suprême le limogeage du général Toufik en septembre 2015. La purge menée par Ahmed Gaid Salah va faire paniquer Hocine Hamid et l’inciter à fuir vers l’étranger. Le prétendument colonel valeureux ayant combattu le terrorisme au cours des années 90 va ainsi suivre la désespérée voie de harga vers l’Espagne, dans la région d’Alicante, dans un geste qui restera gravé comme une trahison traitrise au regard de son passé de militaire. Algérie Part reviendra sur cette « fuite », digne d’un film d’espionnage et fera d’autres révélations sur ce personnage central dans toutes les intrigues qui ont été lancées par le clan paramilitaire ayant pris le pouvoir au plus haut sommet de la DDSE.

Revanchard, Hocine Hamid revient en Algérie après le décès de feu Gaid Salah, hissé véritablement comme le Premier patron de la DDSE. C’est lui qui guide le vieux général-major Mahfoud depuis son bureau et lui insuffle les consignes ou les stratégies diaboliques que son clan veut mettre en place pour monter jusqu’au plus haut sommet du renseignement algérien.

Le duo des colonels Omar-Hocine vont ainsi comploter pour porter préjudice au général Achour, l’homme qui se dresse sur leur chemin dans leur quête du pouvoir au sein du sérail algérien. Les deux anciens officiers de la DCSA vont élaborer ainsi un plan diabolique qui les mènera à trahir leur propre pays pour permettre aux services marocains de prendre connaissance de la présence de Brahim Ghali sur le sol espagnol. Avec leurs relais au sein de la DGSI et du CPO de Ben Aknoun, les colonels Omar et Hocine Hamid ont pris connaissance des détails de l’opération secrète de Brahim Ghali. Le bureau de la recherche et de l’espionnage du CPO de Ben Aknoun a été infiltré avec une facilité déconcertante par les éléments ayant voué allégeance au colonel Omar.

Une fois informés des principaux détails de cette opération menée essentiellement par le général Achour Ouaddahi, leur adversaire redouté, le colonel Omar se concerte avec Hocine Hamid pour l’ébruiter et saboter ainsi sa réussite qui aurait ouvrir les portes d’une ascension fulgurante au général Achour à la tête de l’appareil sécuritaire le plus sensible du pays, à savoir les services secrets, un poste que lorgnait avec insistance le clan du colonel Omar.

Pour la réussite de leur plan, les colonels Omar et Hocine Hamid associent à leurs manoeuvres un connaisseur des finesses des opérations extérieurs. Il s’agit du lieutenant-colonel Ramel alias Tarek Amirat, l’ex-coordinateur général du DRS, les services secrets algériens, au niveau de l’ambassade d’Algérie à Paris, qui a été doit énormément au colonel Omar l’homme qui lui a permis d’effacer tout son passé scabreux relaté par les fiches internes de la DCSA. En effet, comme il avait été révélé dans une précédente enquête publiée par Algérie Part, le colonel Omar a noué une alliance secrète avec Tarek Amirat dans le cadre de la constitution d’un nouveau clan paramilitaire dont l’agenda secret est de neutraliser les conseillers les plus proches du Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour s’emparer ensuite des postes clés au sein des services de sécurité comme l’ensemble des directions de l’ex-DRS.

Le lieutenant-colonel Tarek Amirat a été condamné en août 2019 par le tribunal militaire de Blida à de la prison ferme, payant ses combines et ses liaisons dangereuses avec le clan présidentiel, incarné par le Général Tartag et Said Bouteflika, opposé à celui de l’ex chef d’Etat Major, feu Gaid Salah. Tarek Amirat a été condamné et emprisonné pour complot et atteinte à la hiérarchie militaire, car ayant eu recours à la France pour soutenir la Issaba au pouvoir, tout en omettant de faire état de ses réunions secrètes avec les services de renseignements français. Remis en liberté à la fin du mois de Janvier 2020, il n’a jamais été jugé ou poursuivi pour sa participation aux financements occultes de la campagne pour le 5e mandat de Bouteflika en France comme il a été révélé récemment par Algérie Part. Le colonel Omar a joué un rôle majeur dans cette impunité qui a été apportée sur un plateau d’argent au lieutenant-colonel Tarek Amirat.

Ensemble, à savoir le colonel Omar, Hocine Hamid et l’officier Tarek Amirat qui a été promu et réhabilité au sein de la DDSE par le général-major Mahfoud, vont aller jusqu’à orchestrer une trahison suprême pour torpiller les efforts et la mission du général Achour, l’homme qu’ils voulaient dégommer pour permettre à leur clan de grimper encore davantage les échelons du pouvoir.

Pour faire parvenir les informations secrètes de l’opération Brahim Ghali à l’étranger sans éveiller les soupçons des agents de la DGSI du général Achour, le trio va recourir aux réseaux d’un certain général A.B, un ancien poids lourd du renseignement extérieur algérien et patron des services secrets pendant de longues années à l’ambassade d’Algérie à Paris. Nous reviendrons prochainement sur la participation de ce A.B dans plusieurs manoeuvres dangereuses au sein du sérail algérien. Disposant d’un énorme réseau au sein de la presse française, notamment au sein de Jeune Afrique, et entretenant des relations troublantes avec plusieurs lobbyistes français proches des intérêts marocains, A.B va permettre ainsi au trio Omar, Hocine Hamid et Tarek Amirat, de lâcher des informations précieuses  sur la présence Brahim Ghali en Espagne.

Alertés par ces informations inédites, les relais des réseaux du Maroc en France vont rapidement procéder à des vérifications et recoupages leur permettant uniquement en quelques jours de confirmer la présence du Président de la RASD, Brahim Ghali, dans un hôpital espagnol. Et c’est ainsi que la riposte marocaine s’est mise en branle avec un premier article paru sur Jeune Afrique et ensuite toute une machine médiatique et politique à travers laquelle de fortes pressions ont été exercées sur l’Espagne. Le conflit diplomatique entre le Maroc et l’Espagne a pris une intensité exceptionnelle jusqu’au jour du retour de Brahim Ghali à Alger.

En Algérie, le sabotage de l’opération Brahim Ghali a produit un cataclysme jusqu’au plus haut sommet de l’Etat algérien. Ce fut un coup fatal pour le général Achour dont l’ascension a été stoppée nette. Discrédité et affaibli, l’homme a été contraint de présenter sa démission à la fin du mois de juin dernier. Tebboune a été contraint de l’accepter perdant ainsi l’un de ses hommes de confiance au sein du sérail. Une enquête interne a été déclenchée par la DGSI. Quelques officiers ont été suspendus, mais sans jamais aboutir à la vérité sur ce complot interne fomenté par un clan paramilitaire qui est allé jusqu’à trahir l’Algérie pour éliminer un adversaire. Aucun des acteurs de ce complot n’a été inquiété ou débusqué. Et pour cause, fort du soutien de la DCSA dirigée encore par son frère, le colonel Omar a pu s’offrir un bouclier qui lui garantit, à lui et ses fidèles acolytes, une quasi-immunité. Et puis qui aurait pu s’en douter ? Les divisions sont si nombreuses au sein des appareils sécuritaires du pays que plus personne ne cherche à défendre l’intérêt général ou l’intérêt suprême de l’Etat. Chacun milite ouvertement pour la réussite de son clan au détriment… de l’intégrité ou la crédibilité de l’Etat.

 

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10 تعليقات

  1. Je n’arrive pas à comprendre comment les services spéciaux divulguent leurs noms, quand on est espion en principe on marche avec un faux nom ,on ne doit pas montrer son grade et surtout circulé avec des faux papiers de travail pour ne pas se faire remarquer et éviter des soupçons et même ne rien montrer à sa propre famille ni a ces amis , sinon on se fait attraper facilement et on risque gros même la mort. Si aujourd’hui ces gens étalent leurs fonctions ,leurs grades et leurs noms pour moi ces gens sont les plus idiots qu’on trouve dans les cirques , si Samar arrive à savoir tout sur eux c’est grave ,ils leurs restent à aller garder les chèvres c’est mieux pour eux, puisqu’on connais tout sur eux alors n’importe quel pays peut les contacter avec un petit chèque pour tout savoir sur l’Algérie , vraiment c’est une honte,car aucun pays au monde ne divulgue les noms de ces espions sinon a quoi ça sert un espion, pour moi les espions sont des gens de l’ombre et non pour qu’on connait tout sur eux même leurs vies privées et leurs accords et leurs désaccord, autant de Boumediene c’était pas ça , maintenant que tout connais tout sur eux comment peut ils voyageaient , dès qu’ils rentrent dans un pays ils seront attraper facilement et même emprisonnés, pauvre Algérie ou on est arrivé.

  2. Non Saber , zemmar recoit ses informations de la présidence, actuellement ce mercenaire est au service du Raspoutine algérien, Boualem Boualem le « conseiller » de tebboune (une pourriture comme il n’y en a pas deux). Zemmar est partie prenante de la guerre des services en Algérie et il trahit son pays.

  3. Tout ce cirque pour hospitaliser un chef polisarien violeur et tortionnaire qui a été convoqué comme un vulgaire voyou devant un juge espagnol avant de se sauver en catimini terminer son hospitalisation dans un hopital algérien où le debile Tebboune accompagné du non moins debile Chengriha sont allés lui rendre visite. Pathetique.
    Tout cela pour une fantomatique republqire arabe sahraouie autoproclamée qui ne contrôle que les camps de Tindouf et sur laquelle le tres debile pouvoir algérien investit en masse et en vain….depuis 45 ans en gelant toutes coopérations et echanges economiques fructueux avec le Maroc dont il partage 1500 km de frontières. ET pire encore en s’enclavant et s’etouffant davantage tout seul en fermant la frontière sur lui-même.La geopolitique pour les debiles profonds.

  4. Le régime Algérien déploie beaucoup d’efforts en temps et en argent pour faire plaisir à sa fantomatique république de Tindouf, et à la fin les cacheristes et les médias toutous du pouvoir viennent nous dirent que L’Algèrie est un pays observateur. Pire encore, l’ignorant Kadboune à dit qu’il est prêt à aider pour un sommet à Alger entre le Maroc et sa marionnette Tindoufienne ! On marche vraiment sur la tête !!!!!?????

  5. « L’instruction judiciaire menée contre Brahim Ghali en Espagne continue de livrer de nouveaux éléments inédits. Le site d’investigation Larazone rapporte que le Chef du Polisario possède une carte d’identité espagnole au nom de Gali Sidi Mohamed-Abdelyelil. Ceci a été confirmé par le Commissariat Général à l’Information dans une lettre transmise au juge d’instruction de l’Audience nationale Santiago Pedras. Ce dernier a été informé des démarches entreprises par la Police pour l’identification du mis en cause après son entrée en Espagne.

    Selon la même source, la carte d’identité de Brahim Ghali est toujours valide, sachant qu’il l’a renouvelée la dernière fois le 30 juin 2016 dans la ville de Tolède, après l’avoir obtenu en 2006. Le document précise que le chef des séparatistes est né à Smara, le 18 août 1948.  »  » Opinion Maroc  » Rédigé par Anass Machloukh le Jeudi 8 Juillet 2021

    Les services marocains ont certainement pégasusé le téléphone de la MAE espagnole et peut être de l’ambassadeur et d’autres personnalité grâce aux service sionistes

    Zemmar essaie de semer la zizanie au sein de nos services et de faire croire que la fuite est venu de chez nous
    Moi je crois le juge espagnole qui a entendu Ibrahim Ghali et que ce dernier lui a présenté une pièce d’identité espagnole

  6. C’est les racistes et colonialistes francais qui ont donne’ l’information initial. Mais pourquoi un chef du Polisario, chef d’un peuple Brave, Digne qui veut vivre libre et prospere et pas sous la mainmise d’un auto-proclame’ maitre des infra-humains, esclaves du Maroc, pourquoi les citoyens du Sahara Occidental n’ont pas leurs propres passport et peuvent se deplacer dans les pays qui les reconnaissent?

    Aussi, pourquoi il n’ont pas de passport de refugier des nation unies? Il faut regler cette histoire de papiers et surtous les equiper d’armements capable de detruire le maitre des esclaves le grand homosexuel du Maroc.