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jeudi, avril 18, 2024

Rectificatif – Droit de Réponse de Mme Ouarda Bendlimi pour « Rétablir la Vérité ».

Suite à notre article paru le 9 Mars 2021 dans lequel nous y révélions des emplois fictifs et des millions d’euros gérés en toute opacité par l’Ambassade d’Algérie en France, nous avions évoqué le nom de Mme Ouarda Aouiche, née Bendlimi, qui nous a contacté pour utiliser son droit de réponse.

« Je vous prie de bien vouloir publier un article qui rétablisse la vérité sur mon vrai statut en qualité de mère de famille respectable. Je suis enceinte et mère de deux enfants en bas âge, mon mari est médecin et je viens d’une famille simple composée de parents aimables. Une mère enseignante et un papa expert géomètre, d’une fratrie honorable comprenant des médecins et des professeurs universitaires. Merci de bien vouloir insérer ce droit de réponse » nous a écrit Mme Bendlimi.

« Votre diffamation publique, utilisant mon nom et prénom exacts est de nature à me porter un préjudice moral et peut avoir de néfastes répercussions sur ma santé et mon avenir professionnel » a-t-elle rajouté.

Nous avions effectivement déclaré que Mme Bendlimi était employée de l’Enseignement de Langue et de Culture d’Origine (ELCO), un service culturel géré par l’Ambassade d’Algérie en France.

Mme Bendlimi, qui est diplômée et a suivi des Etudes supérieures à l’université de la Sorbonne Paris 4, n’a pas été recrutée par l’ELCO. Elle a été recrutée à l’Ecole Internationale Algérienne en septembre 2008 en qualité d’assistante de Direction des Etudes pédagogiques, puis mise à la disposition de l’ELCO sur décision du Ministre de l’Education Nationale et non du Ministère des Finances Publiques.

D’autre part nous avions affirmé que Mme Bendlimi, qui possède effectivement avec son mari et son enfant une société immobilière dénommée « ADAMS » et qui est propriétaire d’un studio acquis à travers un crédit bancaire. Nous avons pu consulter l’échéancier bancaire qui a été contracté sur 15 Années et qui court toujours.

Par ailleurs, dans nos échanges transmis par courrier électronique, Mme Bendlimi a totalement réfuté l’information la considérant comme gestionnaire, pour le compte de certains hauts responsables algériens, d’un patrimoine immobilier constitué de sept (07) appartements.

« Je ne gère aucun patrimoine ni de hauts responsables ni de bas responsables, soyons sérieux un peu !! Des hauts responsables ont besoin de moi pour gérer ? » nous a répondu Mme Bendlimi.

Nous avons pu vérifier sur le registre du commerce qu’aucune autre Société Civile Immobilière n’était enregistrée au nom de Mme Bendlimi ni au nom de son mari

Mea Culpa !

Cette mise au point faite, nous espérons avoir corrigé nos erreurs et permis à Mme Bendlimi et à sa famille de laver leur honneur.

Fabienne.Outar

[email protected]

 

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