14.9 C
Alger
vendredi, mars 29, 2024

Le père, la maman accompagnés de 4 enfants : une famille algérienne sauvée d’une mort certaine au large des côtes d’Almeria

Les Harragas algériens continuent de déferler massivement sur les côtes espagnoles. Depuis jeudi 10 février dernier, plus de 200 harragas algériens ayant pu rejoindre les côtes espagnoles ont été recensés par les garde-côtes d’Espagne. Une famille algérienne a défrayé la chronique dans la province d’Almeria en Andalousie. Un père et la maman accompagnés de 4 enfants mineurs ont été secourus par les garde-côtes espagnols et transférés ensuite en urgence au Port d’Almeria pour subir des soins médicaux. 

Les médecins espagnols ont porté assistance aux 4 enfants algériens qui souffraient d’hypothermie et présentés des effets directs dangereux du froid sur la santé. Il faut savoir que lorsqu’une personne est exposée au froid trop longtemps, son corps peut devenir incapable de garder une température adéquate pour bien fonctionner. Si sa température buccale descend en dessous de 35 °C, la personne est en hypothermie. Lorsque l’hypothermie est majeure, les frissons cessent, le ventre est froid, le regard est vide et la respiration ralentie. La personne peut perdre conscience, faire un arrêt respiratoire ou cardiaque. À ce stade, et faute de prise en charge, un décès est possible.

Dieu merci, les 4 enfants algériens ont été secourus et leur santé s’est rétablie grâce aux interventions rapides et efficaces des secouristes espagnols. Cette famille algérienne aurait pu donc périr si les secouristes espagnols n’avaient pas dispensé les soins médicaux les plus urgents et adéquats.

Il est à signaler que moins de 44 harragas algériens ont été également secourus au large de Carthagène, une ville portuaire et une base navale située dans la région de Murcie, au sud-est de l’Espagne. Ces Harragas ont été récupérés par les garde-côtes espagnols alors qu’ils se trouvaient à bord de 3 embarcations menacées de chavirage.

dernières nouvelles
Actualités

6 تعليقات

  1. Y’en a, avec cynisme, qui te diront qu’ils partent pour aller apprendre la langue de Shakespeare !
    Voilà, comment les cachiristes du service après-vente de la junte justifient « El Harga » de tout un
    peuple, en regardant ailleurs !
    Et pour le dessert, ils te diront :
    « Inal Li Ma Ihabnach !

  2. Longue vie à Bouteflika et son frére de combat Boumedienne , les 2 pères du pays depuis sa création en 1962, qui ont instauré les solides bases de l’Algérie , en éliminant les traitres ( comme Chaabani Boudiaf et autres) et en donnant le plein pouvoir aux glorieux militaires patriotes (comme Belkhir et Nezzar) , et longue vie aussi aux 6 millions 532 302 des chouhadas.
    TEBBOUNE et CHENGRIHA ont pris le flambeau des 2 pères de L’ALGERIE .

  3. avec votre mauvaise foie caractériser vous procéder par amalgame et mensonges pour détourner les commentaires qui ne vont pas dans votre sens
    Mon commentaire concernait les « ETUDIANTS ALGERIENS » , et le sujet actuel est les harragas
    Moi aussi j’ai fuit l’Algérie mais surtout les algériens il y’a plus de 30 ans mais en tant qu’étudiant et j’avais juré de ne plus remettre le pied dans ce pays
    C’était un autre pouvoir, une autre junte, et d’autres décideurs tous morts depuis
    J’étais pas le seul, on a été des centaines de milliers dans les années 80, alors que l’Algérie comptait deux fois moins de population et 10 fois moins d’étudiants
    Depuis, on a eu plusieurs pouvoirs, tous algériens, représentants toutes les régions du pays et le résultat est le même :
    Remplacer Mohand par mohammed, ou Méziane par Ould Keddour n’y changera rien, il y’a un virus , pire que le Covid 19 qui a contaminé les algériens: la corruption, la tchipa, l’appart du gain , l’accumulation des richesses sans droits
    Trop facile de se la jouer patriotes, et d’accuser les autres d’êtres des « suppôts du pouvoir »
    Moi je suis bien et l’autre c’est un ….cachiriste…c’est cela … nous on a mangé de la battata bel Baide ou des pattes au lait et la seul viande pas cher qu’on pouvait se payer à l’époque restait la viande chevaline…
    Le resto universitaire c’était lentille avec des morceaux d’os à 1, 20 DA
    l’algérien n’a jamais était un démocrate et ne le sera jamais, chacun veut imposer son histoire, ses convictions et son projet aux autres…