21.9 C
Alger
jeudi, mars 28, 2024

EXCLUSIF – Mohamed Goudjil, le Fils du Président du Sénat Algérien, Sous le Coup de Plaintes pour Harcèlement à Connotation Sexuelle !

Mohamed Goudjil, le fils de Président de la chambre haute du Parlement algérien, est employé au sein du service de l’Enseignement de Langues et Cultures d’Origine (ELCO), un organisme sous tutelle du Ministère algérien de l’Education Nationale et rattaché à l’Ambassade d’Algérie en France.

La mission principale de ce service, qui pour rappel a reçu un budget en 2020 d’un montant de 2.830.000 euros, consiste à organiser, à l’intention des élèves issus, en majorité, de parents d’origine algérienne inscrits dans les écoles françaises, un enseignement complémentaire visant à l’apprentissage des langues arabe et tamazight et à tous les élèves les valeurs de la culture et civilisation algériennes.

Le personnel de l’ELCO a ainsi vocation à œuvrer à l’approfondissement de la compréhension mutuelle entre les peuples algérien et français et à l’élargissement de la coopération culturelle entre les deux pays.

Or nous apprenons que pas moins de deux plaintes pour harcèlement à connotation sexuelle visant le conseiller pédagogique de l’ELCO Mohamed Goudjil, ont été déposées par une de ses collègues au niveau d’un commissariat parisien ! La seconde plainte étant déposée en ce mois de Décembre 2021…

Rappelons que cette dame s’était déjà, le 12 Septembre 2019, plainte à ses responsables quant aux agissements et comportements inappropriés ainsi que du harcèlement à connotation sexuelle qu’elle subissait sur son lieu de travail par Mohamed Goudjil…

Au mois d’Octobre 2020, cette même personne adresse une lettre aux services de l’Ambassade d’Algérie pour se plaindre à nouveau du comportement du fils du Président du Sénat algérien qui la prenait en photo à son insu, contrevenant ainsi à son image et à sa vie privée.

Déjà en Octobre 2016, un courrier de protestation, signé par plusieurs employées de l’ELCO, s’élevait contre les agissements de Mohamed Goudjil qui « s’est distingué par un comportement outrancier déjà porté à la connaissance de la tutelle » pouvait-on y lire !

Suite à cette missive, Mr Noureddine Toualbi, l’ex directeur de l’ELCO et Psychanalyste de formation, avait saisi la Ministre de l’Education Nationale Nouria Benghebrit. Dans son rapport que nous avons pu lire, Toualbi avait indiqué que Mohamed Goudjil souffrait de misogynie et d’un machisme qui n’étaient pas compatibles avec le milieu de l’enseignement. A ce titre, le fils Goudjil avait reçu un blâme !

Mais cela n’a vraisemblablement pas suffi à le faire changer, bien au contraire…

Un des polémistes du net installés à Londres a fait les frais des agissements surprenants et a de nouveau été manipulé par Mohamed Goudjil, le fils du 2ème homme du Pays, afin de se venger de la personne qui avait déposé plainte contre lui.

Il nous parait probable que ce soit lui qui aurait induit en erreur cet activiste installé en grande Bretagne, en lui indiquant que nous serions en contact avec l’une des victimes, source, selon lui, de l’un de nos dernier articles !

Au-delà de l’inexactitude de cette information, nous sommes étonnés que le grossier stratagème ait pu si facilement prendre et influencer notre blogueur réfugié dans la capitale anglaise.

En effet, n’importe quel journaliste, même amateur, aurait fait quelques recherches préalables et aurait pu se douter de la grossière manipulation et de l’illégalité de la démarche consistant à accuser publiquement une personne, qui a déposé deux plaintes contre lui pour harcèlement à connotation sexuelle…

Sauf notre polémiste de Londres…

                                                                                                                   Crédit Photo New Press
dernières nouvelles
Actualités

9 تعليقات

  1. Nous voilà à lire les dessous des plans cul faisant office d’affaire d’État.

    Franchement, je ne vois pas l’intérêt de faire référence au père, qui comme chacun sait est âgé de plus de 90 ans. Est-ce que à cet âge il doit être tenu pour responsable des écarts de son rejeton ? Est-ce qu’il doit surveiller, plus crument, sa quéquette ? L’un est à Paris, l’autre est à Alger.

    La justice est saisie, elle appliquera la loi et celui qui paiera les frais, c’est le fils pas le père qui fait là d’un procès d’intention en exclusivité s’il vous plaît !.

  2. On apprend que le fils du président du sénat algérien GOUDJIL n’a pas le bac et est espion au sein du Consulat de Pontoise tout en dirigeant une sorte d’ecole algérienne. C’est original de mettre à la tete d’ecole des sans bacs. Y a que dans le pouvoir algérien qu’on voit ce genre de clowneries.