Ali Djeffal, le juge de siège du tribunal de Mostaganem qui a rendu le terrible verdict du 18 janvier dernier condamnant la militante pacifique Dalila Touat à 18 mois de prison assortie d’une amende, est un magistrat très connu pour sa servilité à l’égard de la « justice du téléphone ». Par le passé, ce juge de siège a été généreusement récompensé par le régime algérien pour avoir exécuté fidèlement ses « injonctions » et « instructions » dans plusieurs affaires judiciaires traitées en fonction du diktat politique des dirigeants algériens.
En effet, Algérie Part a découvert au cours de ses investigations, que le magistrat Ali Djeffal a bénéficié en toute illégalité d’une bourse d’études à l’étranger en avril 2015. En dépit de son parcours d’études très simpliste et de ses notes très médiocres, Ali Djeffal a été privilégié par des hauts responsables du ministère de la Justice pour obtenir une bourse d’études afin de bénéficier d’une formation en France du 13 jusqu’au 17 avril 2015 à l’école nationale de la magistrature (ENM).
Il s’agissait, a-t-on pu confirmer au cours de nos investigations, d’une formation en « traitement judiciaire du terrorisme ». Une spécialité pointue et prestigieuse pour laquelle le magistrat Ali Djeffal n’est guère qualifié, a-t-on encore appris au cours de nos investigations, car les performances peu encourageantes réalisées pendant son parcours d’études ne lui permettaient pas de se spécialiser dans la « lutte contre le terrorisme ». Or, Ali Djeffal a été avantagé et imposé par des hauts responsables du ministère de la Justice sur la liste des juges récompensés par des bourses d’études à l’étranger.
Des récompenses que distribuent le régime algérien aux magistrats qui lui témoignent une fidélité sans limite et une soumission des plus abjectes dans le cadre de ce dispositif inédit appelé la « Justice du téléphone », à savoir des procès expéditifs au cours desquels les citoyens algériens sont condamnés arbitrairement parce qu’une « injonction venue d’en haut » a ordonné aux juges de « broyer » ces pauvres citoyens.
Né le 07-01-1980, Ali Djeffel est originaire de la localité de Froha dans la wilaya de Mascara. Il avait demandé cette bourse d’études en France pour « enrichir ses connaissances personnelles ». Décidément, Ali Djeffal n’a nullement enrichi ses connaissances puisque ses verdicts sont toujours télécommandés depuis le ministère de la Justice à Alger et ses « victimes » ne sont jamais traitées selon les principes du Droit qui sont noblement enseignés dans les écoles, les vraies écoles, de magistrature.
Ils ont a peine le niveau de 1ere année de Lycée, ils vont se former en France.
C’est un formation touristique qu’ils reçoivent.
Formation de 3 jours je serais curieux de savoir combien a t il perçu intégralement comme frais
Ahhhh j ai compris comme ce pseudo magistrats est originaire de Freha une région ou le vin été ou est de bonne qualité je comprend mieux pourquoi il a séjourné a ENM a Bordeaux je vois que cette explication
Ils continuent à se foutre de notre gueule la Formation de magistrats a ENM c est minimum 31,mois après un bac +4 ans et avec des stages dans des tribunaux de grande instance
C est pas un incapable pareil qui va traiter d egal a egal avec la magistrature européenne et française
Ce régime ne craint pas le ridicule
Allah yasterna
news Algérie va envoyer 140 algériens a Limerick en Ireland au pays d émeraude, ils vont prendre gaélique irlandais
personne ne retourne au pays. bonne chance a mes compatriotes
Puisqu’il n’existe pas de pouvoir judiciaire en Algérie, les préposés à la justice du téléphone, n’ont pas le titre de juge. Officiellement, ils sont tous cachiristes aux pieds de leurs maîtres. Ils sont plus à plaindre qu’à blâmer.