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vendredi, mars 29, 2024

A 90 ans, Salah Goudjil pourrait bel et bien succéder à Tebboune au cas où…

Salah Goudjil, le président par intérim du Conseil de la Nation, le Sénat algérien, pourrait bel et bien succéder à Abdelmadjid Tebboune à la tête de l’Etat algérien si par malheur l’actuel président algérien ne retrouve pas toutes ses facultés physique et mentales qui lui permettent de poursuivre l’exercice de ses fonctions présidentielles à la suite de son infection au coronavirus COVID-19. 

Selon plusieurs sources judiciaires contactées par Algérie Part,  aucun obstacle constitutionnel ou juridique n’empêchera Salah Goudjil de devenir le Président par intérim de l’Etat algérien si l’incapacité de Tebboune de continuer à assumer la fonction présidentielle est décrétée ou actée par le Conseil Constitutionnel. D’après nos sources, le fait que Salah Goudjil préside par intérim le Conseil de la Nation ne le disqualifie pas pour autant de son rang de deuxième personnage de l’Etat. Le règlement interne qui régit le fonctionnement du Conseil de la Nation confère à Salah Goudjil toutes les prérogatives d’un Président ordinaire du Conseil de la Nation même s’il n’a pas été élu officiellement par ses pairs. S’il a été maintenu 15 jours après la démission d’Abdelkader Bensalah le 4 janvier 2020, Goudjil a totalement le droit d’occuper le poste de président de la chambre haute du Parlement. Et rien ne le contraint légalement d’organiser une nouvelle élection pour confirmer officiellement sa nomination dans ce poste stratégique, certifient nos sources.

D’un point de vue purement juridique et légaliste, Salah Goudjil pourrait bel et bien jouer le rôle assumé auparavant par Abdelkader Bensalah en 2019 lors de la destitution d’Abdelaziz Bouteflika en avril 2019. Concernant enfin les informations affirmant le remplacement imminent de Salah Goudjil par l’Ex-magistrate, et l’actuelle sénatrice au tiers présidentiel du Conseil de la nation, Leïla Aslaoui-Hemmadi, nous avons pu confirmer auprès de plusieurs sources bien informées qu’il s’agit de simples spéculations très vagues totalement infondées. Jusqu’à cette heure-ci, aucun mouvement de changement n’est prévu ou attendu au sein du Conseil de la Nation.

Rappelons enfin que Salah Goudjil fut l’ancien ministre des Transports entre mars 1979 et février 1986. Il est sénateur depuis le 8 janvier 2013 et vice-président du Conseil de la Nation entre avril 2019 et janvier 2020.

 

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5 تعليقات

  1. Voilà pourquoi il faut un vice président jeune et universitaire près de la quarantaine.
    Les présidents du parlement (les 2 chambres) doivent aussi être du même profil. Y’en a marre de ces vieux bourricots.
    Le proverbe dit qu’ils sont Comme des singes : inutiles. « Ni pour pour le lait ni pour la laine. »

  2. OHH MON DIEU :UN 2eme BENSALAH A LA TETE DE L’ALGERIE DES CHOUHADAS APRES 62 ANS D’INDEPENDANCE.
    TOUT C A PAR LA FAUTE DE TEBBOUNE QUI N’A PAS APPELE A DES ELECTIONS PARLEMENTAIRES ET MUNICIPALES ANTICIPEES POUR NOUS DEBARASSER DE CES VIEILLES CARCASSES DU RND ET FLN.
    OU SONT LES PREROGATIVES DU PRESIDENT ALGERIEN? POURQUOI CETTE PERTE DE TEMPS?
    A 90 ANS CETTE FIGURE DE L’IMMOBILISME ET DE L INERTIE NOTOIRE VA PEUT ETRE DEVENIR NOTRE PRESIDENT PAR INTERIM: ET TABKA DARR LOUKMANE ALLA HALIHA: VIVEMENT HIRAK H24 /24 CAR LE HIRAK PASSIF NE CHANGERA RIEN,CES VOYOUX QUI NOUS DIRIGENT SONT INDIFFERENTS,IRRESPONSABLES AND INCORRIGIBLES

  3. Si Goudjil gère l’Algérie comme il a géré les consulats de Baden Baden en Allemagne et celui de Grenoble en France et bien bravo ,ce bonhomme marié avec une allemande amateur du schanps ( bière allemande) et qui interdisait a ses enfants de parler avec les arabes qui étaient scolarisés a l’école chrétienne au Bd Jean Jaurès a Grenoble.